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Ma Nana (encore), autres filles, et petites explosions Galerie des Petits Carreaux, Paris, 2012-2013 |
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Je suis une femme moderne, 2012 Broderie à la main sur sous-vêtements anciens
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Le Rouge baiser, 2011 Vue de l'exposition Ma Nana (encore), autres filles, et quelques petites explosions à la galerie des Petits Carreaux, Paris, 2012-2013
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Le rouge baiser est une marque de rouge à lèvres bien connu, dans les années 1950, le texte est reproduit dans la même police, la typographie que laisse une impression durable. La photographie est presque invisible, tiré d'une couverture de magazine de la même époque que le rouge à lèvres. Alors que la publicité pour le rouge à lèvres, dit “le rouge baiser permet le baiser”, cela permet aussi de caresser, d'aller voir ailleurs, et de tromper (si l'artiste a traduit correctement). |
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Le Rouge baiser, 2011 Livre de poche, 20 pages pliées, 16 photographies noir et blanc - Éditions DOMOBAAL 2 photographies extraites du livre
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Quelques petites explosions, 2011-2012 |
Nous pensons que l'œuvre est assez explicite, mais peut-être qu'il est nécessaire de savoir que le matériel qui peut être trempé et enflammé n'est que du tulle de mariage français, qui est assez cher. |
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Mes vedettes, 2012 Carte postale réhaussée à la gouache, série de 15, chacune 8,5 x 14 cm |
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Comme dans la série intitulée Mes mouches, le rouge à lèvres est appliqué à la bouche déjà maquillée des stars de cinéma représentés sur les cartes postales. Chacune a eu ses dents blanchies et leurs yeux brillent. Les cartes postales s'estompent peu à peu, et un jour tout ce qui sera laissé sera la trace posée sur l'image par l'artiste. Un peu comme les étoiles du cinéma elle-même. |
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Je suis une petite charmeuse, 2012-2013 Cols anciens, ruban avec noms, écureuils empaillés, dimensions variables |
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Dear little squirrels once again appear in or as mes petites charmeuses (I like to think of them as sirens). A charmeuse is, of course, a person (a woman) who knows how to please. It is also a light fabric with a satin weave, the face lustrous and reflective while the back has a dull finish. It is used for lingerie and evening gowns. It is considered OK for a man to charm, but there is something a little unseemly (trop coquine), if a woman insists upon this. Rather grubby collars – or at least I have not laundered them – are neatly labelled, with those name tapes that keep a child's possessions in order, lovingly sewn on by maternal hands (one images). To date there are sixty, but I will stop at one hundred collars, though it is proving difficult to find one hundred squirrels. |
 
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