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ILE CEZON |
Projets menés avec la Coopérative109 / Association Cézon |
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Située dans l'Aber Wrac'h (nord Finistère),l'Ile Cezon est un magnifique terrain d'exploration, d'invention, d'actions à échelle humaine.c'est un projet artistique sur plusieurs années, en parallèle à la rénovation patrimoniale,qui donne lieu à de multiples actions. |
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Douve Sonore, 2017 Dispositif sonore, Dans le cadre des journées du patrimoine 2017 |
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Une île coupée en deux géographiquement : D'un côté un glacis de verdure,De l'autre côté le fort, séparés par une douve. Une île au double visage :Nature indisciplinée et force naturelle de la mer,Rigueur de l'architecture Vauban et force froide des bunkers. |
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L'ile au loin, 2018 Performance sonore avec un public sur la plage, en face de l'ile |
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L'ile est inaccessible, les sons en proviennent «flottés» par le vent, incertains. C'est la fascination de «l'ailleurs», de «l'autre côté» qui est en jeu, ....en attendant de pouvoir traverser à marée basse. |
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Paysage sonore, 2018-2021 |
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Étude exhaustive des sons propres à l'ile, sur et sous l'eau, à différentes saisons. Avec actions pédagogiques, séances d'écoute sur l'ile et à la médiathèque, pour différents publics. |
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Camera Obscura, 2018 Deux lentilles, feuilles de calque et dispositif sonore. Dans le cadre des journées du patrimoine 2018
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D'un Bunker, on voit la mer, par le trou de la mitrailleuse. Nous sommes «enterrés». En installant cette camera obscura, c'est l'image de ce qui se passe sur l'eau qui entre dans le Bunker. La mer nous scrute, inversant le principe; La double image inversée due aux deux lentilles trouble la simplicité de la perception. le son projette l'ensemble dans un univers onirique. |
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Tour de l'île, 2018 Son et video projetée Dans le cadre des journées du patrimoine 2018
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Reflexions sur la perception sensible de l'ile, l'image mentale qu'on en a. |
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Banc, 2018 Bois, entre 120cm et 180cm de long Vues du banc sur ile cézon, journées du patrimoine, septembre 2018 |
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Être là et pas ailleurs, pour une passivité active. Des bancs construits et posés tout exprès pour écouter, des bancs qui n'empêchent pas de voir, des bancs pour s'asseoir à deux et écouter l'autre, ou l'Ailleurs.
Véritable point de vue pour les oreilles, ces bancs correspondent à un désir de "niveau zéro" d'une pratique liée au paysage sonore : avant tout écouter, et méditer sur ce qu'on entend. Le banc est un geste minimal, et sa construction est intervenue à un moment clé dans une pratique où trop d'activité fait perdre le sens de cette activité même.
Le banc est fait de bois de charpente dont les angles étaient déjà présents. Par un jeu formel, tout les angles du banc sont à 32° (sinon à 90°).
"Chaque lieu où je m'asseyais était un lieu où je pouvais vivre, et le paysage irradiait autour de moi en conséquence" Henry David Thoreau - Walden
Au sujet des bancs d'écoute et en attendant Giono : « J'étais parti. Je me glissais sur un petit banc. Je m'asseyais et je restais complètement immobile. C'était le grand départ. » Jean Giono, Le Voyageur immobile |
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Pulsive element, 2019 Concert - Performance immersif de Hughes Germain, avec Hélène Colombotti |
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“Hughes Germain, sentinelle les oreilles aux aguets, compose un concert immersif à l'aide du paysage sonore récolté sur l'île. Confortablement installés, laissez vous surprendre par un voyage musical explorant les contrastes de Cézon. Avec la complicité de la percussionniste Hélène Colombotti de l'ensemble Sillages, sur et sous l'eau, entre nature et constructions, mer et roche, ce soir là les sons deviennent musique, et la musique vient du paysage qui nous entoure.” |
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